Tiens ça me rappelle, quand je suis allé voir Amour&Amnésie, je suis tombé sur de magnifiques spécimens.

Je veux bien sûr parler de demoiselles décérébrées dont le degré de beaufitude et de débilité est digne du livre des records. Elles étaient trois, l’une d’entre elle accompagné d’un gamin, qui ne comprenant rien aux mesquineries de sa maman (la pire de toute, elle a du perdre des neurones lors de l’accouchement), ne s’intéressait visiblement qu’à manger le plus bruyamment possible des friandises achetés à grand prix au stand du bas.
Morceaux choisis:
la mère : « Alors là le mec, 30 ans, je me demande si c’est pas un beauf hinhinhinhinhin »
les autres : « hihihihi » « hohohoho »
la mère : « Je me suis dit, ah c’est un vieux christ gnignignignigni »
les autres : « non ? »
la mère : « si, en plus il venait de tours » (tours semble donc être un ville tout à fait respectable – effet de contraste)
les autres : « incroyable ! »

et ça continue …

Heureusement, elles entendaient rien à la pub « la molécule du bonheur » (sisi ça existe, ils la vendent), donc elles se sont replongées dans leur bovinisme afin de bien saisir toute la non quintessence de cette pub minable et gerbante. Ouf !

Je suis actuellement en train de travailler sur un programme en c#.
Je ne sais pas si certaines personnes ont déjà tenté l’expérience, mais pour donner une idée cela se rapproche du java et du c++, le tout fortement orienté vers la plateforme .NET.
Alors c’est pas mal quand on veut faire des trucs simples, prévus par c# et .NET, mais lorsqu’il s’agit de sortir des sentiers battus, pfuiit ! plus personne. Du coup je dois strugler comme un fou afin de faire des choses simples (par exemple lire un tableau en virgule flottante à partir d’un fichier, honte à moi).
Une des possibilités est de faire des interfaces graphiques simplement. Oui mais voilà, dès que l’on veut faire plus qu’un bouton, on se retrouve à écrire des lignes et des lignes de code afin de circonvenir à tel problème.

Mon verdic pour c# : c’est bien mais peut mieux faire.

PS: Pour ceux qui sont habitués à produire du code de qualité en c++, le c# ca rame.

Alors que je prenais une bretelle d’autoroute, voilà qu’une voiture roule lentement.
A peine du 80 km/h, alors que c’est limité à 90 km/h, et que les voitures roulent en général à 110 km/h, il y avait de quoi étonner (cf. ci-dessous). La curiosité aidant, je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’oeil afin d’examiner la (vieille à priori) personne. Et là, surprise ! C’est une jeune fille (je suis sûr de ce fait) qui se rase la barbe au volant. Eh oui. Il en faut. D’ailleurs c’est très mal de se raser au volant.
Ce qui m’amène au second point. Lors d’une visite toute amicale aux grand magasins lors des soldes, il y a un peu plus d’une semaine, je surprend une femme, dans une boutique assez chic, avec des vêtements pour homme (son mari n’a vraisemblablement pas le temps de s’habiller). Jusque là rien de bien extraordinaire, sauf que la dite femelle s’adonne à une exploration de ses naseaux grâce à son doigt toute troglodytique. Manquant de vomir, je suis néanmoins témoin du reste de la scène. Dotée d’un charmant bambin, cette femme le tance vertement de courrir partout (parce que « cela ne se fait pas » – alors que l’exploration nasale, je veux dire c’est bien, ça se fait). L’enfant calmé, elle lui passe tout maternellement la main (la même bien sûr) dans les cheuveux. Ca c’est sport.

Hier en voiture,

J’ai vu un accident. C’était un motard qui était incrusté dans une barrière. J’ai trouvé ça moyennement drôle. Il a du être percuté par une voiture qui tenait pas ses distances de sécurité.
Mais comme il fait beau en ce moment, tout le monde roule comme des cons.

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Alors voilà,
Ce matin je me suis mangé dès le réveil un catégorie de personnes qui peut se révéler très… enfin très quoi. C’est pas qu’elles soient méchantes, c’est surtout qu’il y en a plein, et que ca fatigue au bout d’un moment. En plus ils donnent la gerbe. Bien sur, je veux parler des gens niais.
Définissons d’abord ce qu’est la niaiserie. La niaiserie, c’est quelque chose qui contre, toute logique et bon sens, choisit la voie émotionellement la plus facile. La niaiserie, c’est un peu comme le coté obsur de la force, mais en rose. Un truc crade. Immonde. Partout.
Un très bon exemple de niaiserie est la fin des séries et des films américains. Cette « happy-end », où le vil méchant (qui est pourtant, plus intelligent et plus prudent que le héros, mais qui semble doté d’une tare en ce qui concerne la visée avec les armes à feu), et battu, où tout soupçon de chose qui pourrait aller mal est dissipé au prix d’incohérences discordantes.
Maintenant que l’on possède une bonne idée de la niaserie, passons aux personnes niaises – ie qui expriment, de temps à autre ou bien tout le temps – de la niaiserie (rien que d’écrire ce mot, ça me fait mal, c’est horrible comme votre serviteur souffre). J’en connais plein, que je ne nommerais pas pour ne pas peiner leur famille déjà bien eplorée (quoi que réfléxion faite, en général les niais grégairent comme des mouffettes et donc sont en familles). Il y a X, membre de ma famille et niais sur le net, il y a MF, un ami niais mais pas trop, mais qui regarde des séries américaines l’oeil larmoyant. Bien sûr, comment ne pas nommer Z, parangonne de la niaiserie, que heureusement je ne vois qu’à la télévision (que je n’ai pas – ce qui explique ma santé mentale resplendissante -, mais que je feuillette de temps à autre chez autrui).
Comment reconnaître un niais ?
C’est très simple. Une action inutile, guidée par des sentiments miévreux. 10 Points. Une bonne parole, une pensée émue. 2 Points. Un sourire béas que rien ne dicte. 5 Points. Un respect total pour un quelquonque sentiment de filliation, appartenance à un groupe, irraisoné. 1 Point. Autres raisons laissées à la discrétion du lecteur, 1 Point.
Après c’est facile : 2 Points ou plus = niais. Sinon, il faut se méfier des faux négatifs, nombreux et souvent vils. Mais ne polémiquons pas inutilement.
Nous voilà donc bien armés afin de lutter efficament contre un des fléaux de notre société. Je conspue moi-même régulièrement le héros lors des films américains.

Bonne soirée.

Dans la vie, il y a des gens qui ont raison (peu), et des gens qui ont tort (les autres, l’exercice de trouver beaucoup n’est pas laissé au lecteur).
Là n’est pas la question, c’est évident. Bon.
Par contre, il est plus fréquent que les gens aient raison à tort que les gens aient tort à tort.
Moralité, les gens qui ont tort se trompent moins.

La vie c’est pas facile pour certains, trop dur pour d’autres.
Heureusement, x2b4 est là pour expliquer comment ca marche.