panel de pon dsHop, un petit billet en vitesse parce que sinon je suis sur que je vais oublier ! Comment débloquer le fond spécial de Panel de Pon (qui provient de l’original) :

  • Finir VS COM, Garbage, Hard, Stage 10;
  • Finir Stage Clear en 1 joueur;
  • Obtenir 10000 points en Score Attack;
  • Obtenir 10000 points en Endless;
  • Obtenir 10000 points en Garbage un seul joueur.

Le plus dur est de loin est de battre l’ordinateur ! Le reste c’est assez facile…

ClonesCritique express : Une bande annonce alléchante qui ne sera pas suivie d’un bon film. A éviter.

Clones continue la série des films d’avatar, avec nos doubles contrôlés depuis des interfaces futuristes et des couleurs kikoolols de partout. Là, on nous demande de croire à la pseudo fable que l’humanité s’est lancée dans une fuite en avant du monde réel, ne se déplaçant plus que par l’intermédiaire de leur double. C’est bien là la seule bonne idée du film : sous prétexte de clones, les acteurs peuvent jouer comme des manches. Ils ont l’expressivité de ma brosse à dent. Bruce Willis est absolument pathétique. Il cherche à se donner des airs de sensibles, alors que le seul véritable film adapté à son style de jeu, c’est Die Hard. Le scénario est à l’avenant. On saute allègrement d’une incohérence à une autre. D’ailleurs en substance le film ne délivre rien. Il y a un pseudo message de « bouh la vie virtuelle c’est caca, il faut que les gens apprennent à se connaitre en vrai » et blablabla. Bref de la philosophie à la mort moi le nœud. On se fait donc chier grave dans cette bouse.

CinémanCritique express : Véritable cinébouse, Franck Dubosc au pire de sa forme. À fuir.

Cet homme est professeur de mathématiques. Ah vraiment ? Eh bien le fait qu’ils fassent grève dans l’éducation nationale ne m’étonne plus. Le pauvre bougre gagne si peu qu’il est obligé de vivre dans un bâtiment désaffecté envahi par les lianes et les chats. Vous l’aurez compris, la crédibilité du monde réel passe aux chiottes dès les premières minutes du film. Cela rend plus facile le veau à l’eau qui s’ensuit, le réalisateur n’ayant visiblement rien à foutre du scénario ni des performances de ses acteurs. Franck Dubosc, par malchance, s’est assis sur un balai avant le début du tournage. Heureusement, Pierre Richard, sommité du rire, est là pour lui donner des conseils. Hélas douloureusement atteint à l’hypothalamus depuis « Victor« , il ne lui sera d’aucune utilité (attention citation de Taram et le Chaudron magique). Le but noble de cet être en perdition : se taper de la zesgon à donf. Pour cela il endosse de nombreux accoutrements (ou fripes, selon), lui permettant de pourchasser l’élue de son coeur (et oui c’est un grand romantique – pas moi, dommage) dans des vieux films tous pourris. Un méchant fait alors son apparition. On sent bien qu’il est plus malin et plus adapté, mais comme dans tout bon film merdique, la chance et le scénariste se sont ligués contre lui. La queue entre les jambes, il repart. Le héros quant à lui mettra sa queue bien profond dans la petite salope, ah en fait non, il se la tape même pas. C’est cette impression de dégoût et de vide qui résumera le mieux ce film. Un mot sur la musique, au final pas si mal que cela, grâce à une adéquation raisonnable aux différentes ambiances. L’image, pour sa part, est brouillonne. On aurait aimé qu’ils revisitent des films plus récents, ou bien des films avec Franck Dubosc ou Pierre Richard. Pour conclure, ce sont les bonnes idées qui seront les grandes absentes de ce film.

Jennifer's BodyCritique express : Film fidèle à l’image de son actrice principale, idéal pour les veaux écervelés. A fuir.

Ce film est un ramassis de tout ce qu’il ne faut pas faire, même dans un film pour adolescents retardés dont le cerveau a visiblement eu du mal à passer le col de l’utérus. On part sur un scénario complètement bidon : une chaudasse du cul se fait sauvagement assassiner puis posséder par un démon, ce qui la pousse à dévorer des hommes en les séduisants. On restera néanmoins dans le super cucul pour la séduction, c’est à peine si on voit un bout de sein de temps à autre. Pour un film qui en fait son argument de vente, c’est un peu léger… Reste, l’horreur, ah bah non il n’y en a pas, de temps en temps on voit du sang, de temps en temps on voit des dents ouh mon dieu ca fait peur. Donc, reste, hmm… rien. Oui en fait il n’y a rien du tout dans ce film. On se fait chier à voir des ados de 25 ans (cherchez l’erreur) à faire les débiles en attendant d’être mangé ou pas. La fin est à l’avenant de ce navrant navet.

PS: Megan Fox t’es moche cache toi.

Lucky LukeCritique express : Film constipé et constipant, ce Lucky Luke se perd complètement. A éviter.

Exercice délicat d’adapter une bande dessinée au cinéma. Exercice encore plus délicat quand il s’agit d’une série aussi connue que Lucky Luke, une parodie de surcroit.
Une fois de plus, cet exercice sera raté et en beauté. Si le départ du film surprend par sa fraîcheur et ses gags assez bien trouvés, on plonge directement dans la mouise après les vingts premières minutes. En fait dès qu’Alexandra Lamy entre en scène. On quitte le film d’adaptation pour tomber dans la comédie pseudo romantique pseudo intellectuelle qui se cherche un coté bouffon sans l’assumer. Les seconds rôles sont simplement exécrables car mal castés. On nage en plein délire. Le scénario global est peut être la chose la moins à jeter dans ce film, c’est dire ! On passe sur la musique détestable. Jean Dujardin en fait des tonnes pour pas grand chose. Seul rayon de soleil, les gags avec le cheval, bien fidèles à l’esprit BD. Le reste est à oublier.

Tempête de boulettes géantesCritique express : Un film qui ne paye pas de mine mais qui au final est une vraie pépite. A voir.

Tempête de boulettes géantes, c’est  la bonne surprise. On s’attend à une comédie en image de synthèse gentillette est on se bidonne pendant 1h30. Les gags s’enchainent à la vitesse de la lumière, et le parti pris de partir complètement en dehors d’un scénario « réaliste » permet aux concepteurs d’assouvir tous leurs fantasmes créatifs (un exemple parmi tant d’autres:  un escadron de pizzas volantes). Les héros sont complètement barges, et leur design leur sied vraiment bien (même si c’est un peu léger au niveau technique). Ils ont tous leur caractéristiques propres qui permettent de donner un véritable cachet  à ce film. Bref, pas d’hésitations, foncez !

VictorCritique express : C’est pas très drôle, c’est pas très inventif. A éviter.

Victor aurait pu être une réussite si les blagues qui l’émaillent avaient été plus nombreuses. Là, on se retrouve avec une comédie de famille assez lourde, qui passe les différentes étapes (mise en place, tension, résolution) avec lourdeur et apathie. Pierre Richard a de temps en temps une étincelle dans les yeux, mais à part cela, reste très fade. Les autres acteurs ne sont guère mieux, chacun engoncé dans son rôle. Un film pour les papy en mal de jeunesse peut-être.

Le Syndrome du TitanicCritique express : Très très pesant, on ne comprend pas très bien à qui se film s’adresse. A éviter.

Un autre film sur les dangers de la société moderne. Si de nombreuses personnes s’accordent à dire que le modèle socio-économique actuel est à chier, Nicolas Hulot est inquiet. Très inquiet. Cela peut se concevoir, mais hélas la réalisation du film pêche tellement que le message est très flou. Déjà, si on est convaincu avant son film, on n’apprend rien de nouveau et on se fait chier (mon cas). Mais si on ne connait rien, on en apprends pas tellement plus. D’autre part, Nicolas Hulot n’est clairement pas une voix. Il aurait du confier la diction de son texte à quelqu’un d’autre. Et l’écriture aussi tant qu’il y était. Bref, une bonne intention gachée…